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Éléments biographiques[modifier modifier le code]

Œuvre[modifier modifier le code]

Postérité[modifier modifier le code]

Controverses[modifier modifier le code]

« Conflits messianiques » de Bratslav[modifier modifier le code]

Notes et références[modifier modifier le code]

Sources[modifier modifier le code]

Bibliographie[modifier modifier le code]

Annexes[modifier modifier le code]

Nahman de Bratslav — Wikipédia
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La flamme de Rabbi Na’hman c’est avant tout l’histoire de sa vie exceptionnelle, mais aussi ses enseignements, conseils et éclaircissements d’une profondeur inégalés.

Héritage grandiose et unique, l’œuvre de Rabbi Na’hman éclaire le chemin de chaque juif dans ces temps troubles et lui ouvre la voie vers la lumière, la joie, le réconfort.

Animés par la foi en l’importance de cette œuvre et de son message éternel, nous nous sommes investis corps et âmes avec nos équipes de traducteurs afin de la mettre a la portée du public francophone.

Nahman de Bratslav — Wikipédia

Rabbi Nahman de Breslev

Tombe de Rabbi Nahman Présentation Nom de naissance Nahman Ben Simha Surnom(s) Nohmen Breslover Naissance

Medjybij Décès (à 38 ans)

Ouman Lieu de sépulture Ouman Dynastie courant hassidique de Breslev -seul tsadik ou admor Prédécesseur aucun Successeur aucun Œuvre Likouté Moharane Place dans la lignée Premier et unique Rebbe Ses disciples Nathan de Bratslav

Naphtali de Nemrirov Prise de ses fonctions 1802 Fin d’exercice infini Père Simha Mère Feyga Épouse 1 Sashia Enfants 1 Odele

Sarah

Feiga

Haya

Miriam

Fille (morte nourrisson)

Yaakov

Shlomo Ephraim Épouse 2 Nom Inconnu Famille Baal Shem Tov

Nahman Horodenker

Nahman de Breslev (hébreu : רבי נחמן מברסלב Rabbi Nahman miBreslev ; yiddish רבי נחמן ברסלבר Rebbe Nohmen Breslover), également appelé Moharan, est un rabbin des XVIIIe et XIXe siècles (Medjybij, – Ouman, ), fondateur de la dynastie hassidique de Bratslav.

Né à une époque où l’influence de son arrière-grand-père, le Baal Shem Tov, s’estompe, Nahman donne un nouveau souffle au hassidisme en combinant les enseignements ésotériques du judaïsme avec une étude approfondie de la Torah.

Il attire des milliers de disciples de son vivant et jusqu’à nos jours.

Nahman de Bratslav naît le (Rosh Hodesh nissan), dans la maison familiale du Baal Chem Tov (Besht) (1698-1760) à Medjybij (à l’époque dans le royaume de Pologne, actuellement en Ukraine).

Sa mère, Feyga, est la petite-fille du Besht, fondateur du judaïsme hassidique, par sa fille Udel ou Adil, et son père, le rabbin Sim’ha, fils du rabbin Nachman de Horodenka (-1765), l’un de ses principaux disciples et l’intendant de sa maison[1].

Nommé d’après son grand-père paternel, Nahman Horodenker, il a deux frères, Yehiel Tzvi et Yisroel Mes, et une sœur, Perl[2].

L’enfant grandit dans une atmosphère hassidique.

Il raconte à ses disciples que, dès l’âge de 6 ans, il se rend régulièrement, la nuit, pour prier sur la tombe du Besht et paie son maître trois pièces, outre son salaire, pour chaque page supplémentaire de Talmud étudiée avec lui, afin de l’encourager à couvrir plus de matière[2].

Âgé de 13 ou 14 ans, il épouse Sashia, fille du rabbin Ephraïm, de Houssiatyn, et acquiert son premier disciple, Shimon (son aîné de plusieurs années), le jour même de son mariage.

Il s’installe auprès de son beau-père puis à Medvedivka[Où ?], où il demeure neuf ans.

À l’approche de sa vingtième année, il compte de nombreux disciples[3].

Voyage en Terre d’Israël [ modifier | modifier le code ]

À l’âge de vingt-six ans, Nahman décide de se rendre en terre d’Israël. Ayant tout laissé derrière lui, il entreprend le voyage, accompagné du rabbin Shimon, en 1798, le jour de Lag Ba’omer[réf. nécessaire].

Après avoir été retenu à Istanbul, son navire atteint les côtes de Haïfa la veille de Roch Hachana 1799. Il est reçu avec de nombreux égards par les Hassidim de Haïfa, Safed et Tibériade où il parvient à apaiser les querelles entre Hassidim et Mitnagdim de Volhynie[réf. nécessaire].

Au moment de son retour, vers Pourim (février ou mars) 1799, il est retenu à Saint-Jean-d’Acre lors du siège qui lui est imposé par Napoléon Bonaparte. Après plusieurs péripéties, il monte à bord d’un navire turc sur lequel il navigue jusqu’à Rhodes puis vers Galatz pour rentrer en Ukraine par voie terrestre et arriver à Medvedevka au début de l’été 1800.

Cette visite marque un tournant dans son enseignement. Il recommande de ne pas citer ce qu’il avait enseigné avant ce voyage et a coutume de dire : « Partout où je vais, je vais en terre d’Israël »[réf. nécessaire].

« Un cœur de pierre, un cœur dur et inflexible, est exactement le contraire de Breslov. Pour le contraire d’un lev even, d’un coeur de pierre, est un lev basar, un coeur de chair[4]. LeV BaSaR sont les lettres qui composent le mot BReSLoV. C’est ce que dit le Arizal[5] »

Après avoir passé deux ans à Zlatopol, Nahman s’installe à Bratslav, en Ukraine, en 1802. Il déclare à cette occasion à ses disciples :

« Nous avons en ce jour planté le nom des Breslover Hassidim. Ce nom ne disparaîtra pas, car mes disciples seront toujours appelés du nom de la ville de Bratslav[6] ».

Il fait bientôt la connaissance de Nosson Sternhartz, un prodige de 22 ans habitant la ville voisine de Nemirov. Ce dernier devient son principal disciple et scribe, au point d’être connu sous le nom de Rabbin Nathan de Bratslav. Il consigne toutes les leçons de son maître, ses conversations informelles avec les disciples, et les publie avec son propre commentaire. Il dira plus tard de lui : « Personne ne me comprend, mais Rabbi Nathan me comprend un peu. ». Un autre de ses fidèles disciples est l’ami de Nathan, rabbi Naphtali[7].

Son épouse Sashia meurt la veille de Chavouot, le 11 juin 1807, à 35 ans, de la tuberculose, et est enterrée à Zaslov, le même jour, juste avant le début de la fête[8].

Un peu plus tard, le rabbin Nahman se remarie avec la fille de Yehezkel Joshua Trachtenbourg de Brody, possiblement prénommée Déborah. Il contracte la tuberculose peu après[9].

Vers Souccot 1807, Nahman demeure huit mois à Lemberg : Rebbe Nahman a été en l’une des premières grandes conférences de médecine réunissant de nombreux médecins très importants, et le Rebbe a participé avec passion aux discussions.

C’est là qu’il ordonne de brûler une partie de ses enseignements[réf. nécessaire].

Tombeau de rabbi Nahman à Ouman (Ukraine)

À la suite d’un incendie qui détruit sa maison en 1810, Nahman est contraint de quitter Bratslav.

Il est hébergé par un groupe de maskilim (Juifs adhérant à la Haskala, équivalent au mouvement des Lumières) d’Ouman, également en Ukraine, sur la route entre Kiev et Odessa.

Des années plus tôt, Nahman avait confié à ses disciples qu’Ouman était un bel endroit pour être enterré[10], du fait de la présence dans le cimetière de la ville, appelé Beit HaHaïm (la maison des Vivants), de 2 000 à 20 000 victimes juives (et de Polonais) par les cosaques du massacre d’Ouman, au nom du Kidouch Hachem, en 1768[7],[11],[12]. Devant témoins, il promet que toute personne qui se rendrait après sa mort sur sa tombe, qui donnerait une pièce de tsedaka et qui réciterait dix des psaumes qu’il avait rassemblés (Tikoun Haklali), serait épargnée des feux de l’enfer[7].

Nahman de Bratslav décède à 38 ans, emporté par la tuberculose au quatrième jour de Souccot, et est enterré dans le cimetière d’Ouman[13].

Pèlerinage sur la tombe de rabbi Nahman

L’ancienne promesse de Nahman de Bratslav réunit régulièrement des milliers de juifs du monde entier sur son tombeau[7]. Sa sépulture devient rapidement un lieu de pèlerinage, institué par Rabbi Nathan pour commémorer les réunions (kibboutzim) autour du maître de son vivant à l’occasion des fêtes de Roch Hachana, Hanoucca et Chavouot, également à Lag Ba’Omer[14].

Le pèlerinage a lieu une fois l’an, à Roch Hachana, d’où le nom de Kibboutz de Roch Hachana.

Il attire des milliers de Hassidim d’Ukraine, de Biélorussie, de Lituanie et de Pologne jusqu’en 1917. La Révolution bolchevique bannit les juifs russes de l’entrée dans la ville ukrainienne, tandis que les Américains et les Européens doivent recevoir des permissions spéciales[12]. Ces contraintes obligent les juifs orthodoxes à se faire discrets et seule une douzaine de Hassidim prennent le risque de se rendre au pèlerinage durant l’ère communiste. Dans les années 1970, le tombeau du Rebbe se trouve dans l’arrière-cour d’une maison ukrainienne au 1 rue Belinsky – connue aujourd’hui comme la rue Pushkina, et échappe de peu à une rénovation du quartier[12].

Depuis la chute du rideau de fer, un nombre croissant de juifs se presse chaque année à Ouman. En 2008, environ 25 000 personnes participent à ce pèlerinage et en 2016, plus de 40 000 personnes[15],[12]. « Le phénomène de ce tourisme juif annuel est devenu tellement important, que certains habitants d’Ouman ont appris quelques mots d’hébreu »[12].

En 2010, malgré l’opposition des hassidim de Bratslav, les rabbins du courant principal et le gouvernement ukrainien, le gouvernement israélien ordonne au ministère des Affaires religieuses d’examiner la possibilités de ramener les ossements de Nahman en Israël[16],[17].

Malgré sa mort prématurée, Nahman produit une œuvre abondante et séminale pour le hassidisme. L’immense majorité de ses enseignements est demeurée difficile d’accès du fait de leur complexité, au point que seulement quelques rabbins par génération pensent approcher l’interprétation exacte de sa pensée. Mais ses conseils pratiques sont eux parfaitement clairs et abondent ses écrits ; ainsi, c’est principalement au travers de ses conseils que son enseignement s’est perpétué de génération en génération, au point de faire d’une poignée de familles Breslev au début du XXe siècle plusieurs centaines de milliers d’adhérents au début du XXIe siècle.

A l’automne 1805, Rabbi Nahman achève le Sefer HaGanouz (le Livre Caché). Fin 1805, il termine de dicter à Rabbi Nathan, à partir de ses notes, le Sefer Hamidoth ou Livre du Aleph-Beth qu’il avait commencé à l’âge de 6 ans. L’année suivante, il dicte à son disciple la copie de son manuscrit du Sefer HaNisraf (Le Livre Brûlé). L’été suivant, Rabbi Nahman débute le premier de ses treize contes hassidiques. En 1808, est éditée la première partie du Likoutey Moharan, le recueil majeur de ses enseignements. En 1810, Rabbi Nahman dévoile en totalité le sujet du Tikoun Haklali (Réparation Générale pour tout) par la récitation des dix tehilim fondés sur les « dix sortes de mélodies ». Peu après, il termine de raconter le dernier des treize contes constituant son livre Sippouré Ma’assioth[11].

Nahman a ouvert une voie nouvelle dans la hassidout[réf. nécessaire], en insistant sur l’importance de la joie, de la prière, de la foi simple et naïve.

La particularité de sa science réside dans « les récits des années 1807 et 1810, une sorte de transmission de messages profonds de manière dissimulée, à peine suggérée »[7].

« Il ne faut jamais se décourager, il faut toujours se réjouir ! »

« Si tu crois que l’on peut détruire, aie foi que l’on peut réparer ! »

« Le désespoir n’existe absolument pas ! Même si l’homme transgresse toute la Torah des milliers de fois, il doit avoir foi qu’il peut recommencer encore à nouveau. C’est cela la Foi parfaite en Dieu, car Ses bontés se renouvellent chaque matin et infinie est sa bienveillance »

« Lorsqu’un homme sait que tout ce qui lui arrive est pour son bien, cette qualité est le reflet du Monde Futur ! »

« Mieux vaut le simple qui croit à tout que le sophistiqué qui ne croit à rien. Car en croyant à tout, on en viendra éventuellement à croire aussi au vrai. Tandis que le sophistiqué, en niant tout, niera aussi la vérité ! »

Il recommandait à ses disciples d’éviter la recherche philosophique, « de ne pas s’embrouiller l’esprit dans des précisions, ni de buter sur les incompréhensions et de comprendre chaque sujet avec simplicité, de terminer le livre du début à la fin et ensuite de le recommencer : les sujets s’éclairciront d’eux-mêmes au fil des lectures »

Il insistait sur l’importance majeure de l’étude de la Torah :

« La Torah est infiniment puissante ! Elle arrachera le pécheur aux pires de ses dépravations ! »

« On doit fixer un temps pour l’étude. Et si on est dépassé par ses occupations, on devra « voler » de son temps pour se consacrer à la Torah ! »

Il insistait sur l’importance d’Erets Israël :

« Il est impossible, pour celui qui veut être un véritable juif, de le devenir sans la Sainteté de la Terre d’Israël »

Pour Nahman, la joie est primordiale et il faut s’écarter de la tristesse et du désespoir :

« La joie est un devoir religieux, au même titre que les autres mitsvot »

« La véritable joie est atteinte en ne regardant que ce qu’il y a de bon en nous-mêmes, chez autrui et dans toutes les situations »

« Le monde entier est un pont très étroit, l’essentiel est de ne pas avoir peur du tout ! »

La notion du courage est également essentielle chez Rabbi Nahman : « Sois fort et courageux ! » : chaque homme a une mission à accomplir sur cette terre, il doit se renforcer et ne jamais se décourager ; s’il ne se décourage pas, Dieu l’aidera.

« C’est le plus grand honneur de Dieu, quand ceux qui sont très éloignés de Lui sont attirés à Son service[18] »

Son enseignement, oral et écrit, se distingue du hassidisme classique. Parmi ses enseignements les plus marquants :

Chacun doit chercher le Tzadik (« juste ») en lui et pour lui. Chaque Juif possède le potentiel pour devenir un Tzadik [ 19 ] .

(« juste ») en lui et pour lui. Chaque Juif possède le potentiel pour devenir un . Le Tzadik doit être un modèle pour sa communauté, il ne remplace pas Dieu. S’il peut soulager le Hassid qui lui fait part de ses fautes en l’écoutant, il ne peut l’« absoudre » ni se substituer à lui pour adresser sa prière à Dieu.

doit être un modèle pour sa communauté, il ne remplace pas Dieu. S’il peut soulager le qui lui fait part de ses fautes en l’écoutant, il ne peut l’« absoudre » ni se substituer à lui pour adresser sa prière à Dieu. Bien qu’il ait dans sa jeunesse fortement recommandé l’ascétisme, il enseigne plus tard qu’il faut éviter le fanatisme ; il vaut mieux choisir une mitzva particulière sur laquelle il faut être sans concession et pratiquer les autres sans excès [ 20 ] .

particulière sur laquelle il faut être sans concession et pratiquer les autres sans excès . La sainteté doit être recherchée en toute chose, y compris les domaines privés et intimes.

Il recommande à ses disciples de chercher leurs « bons points » et ceux des autres afin d’aborder la vie positivement. Si l’on ne peut se trouver de « bons points, » il faut chercher ses actes méritoires. Si ceux-ci sont guidés par d’autres motifs, il faut chercher les points positifs dans ces derniers. Si l’on n’en trouve aucun, il faut être à tout le moins heureux d’être juif, car ce « bon point » vient de Dieu.

Il conseille à chacun de dire cette phrase en début de prière :

Mon Dieu, je commence aujourd’hui à te servir!

Il explique : ne plus tenir compte du passé permet de réparer les erreurs plus sûrement que s’attarder dans l’amertume.

Une règle : toute pensée qui empêche la Techouva est une pensée négative, même si elle se déguise en pieux remords [ 21 ] .

est une pensée négative, même si elle se déguise en pieux remords . Il recommande de juger les autres – et de se juger – avec indulgence.

L’essentiel du repentir consiste à éveiller le Bien qui est en nous.

Il importe de ne considérer que les aspects positifs d’une personne, pour lui permettre de corriger ses erreurs :

Même si tu constates que l’homme est complètement perverti, juge-le favorablement. Cherche en lui quelque point valable, une Mitsvah ou une bonne action. Il n’est pas possible que de sa vie il n’ait accompli au moins une action valable[22].

Il insiste sur la vie basée sur la foi, la simplicité et la joie. Il encourage ses disciples à applaudir, chanter et danser, pendant ou après leurs prières, dans une relation plus étroite avec Dieu :

Le malheur, la souffrance, proviennent d’une incompréhension des événements. Si l’on a foi en Dieu, on comprend que ce qui nous arrive est pour notre bien: on ne souffre plus.[23]

Il enseigne que ses disciples doivent consacrer une heure chaque jour, seuls, pour parler à Dieu :

Pour anéantir son ego, et se fondre dans l’Absolu, on ne peut le faire qu’en parlant avec Dieu dans un endroit déterminé et à une heure indiquée. Le temps, la nuit ; l’endroit, un chemin solitaire. En s’isolant et en parlant avec Dieu, on purifie son cœur, on annule complètement son ego et l’on s’unit à l’Infini. Dieu est Absolu, le monde relatif. En s’annulant à lui, on s’unit à Lui.[24]

Il accorde grande importance à la simplicité et à la pureté de cœur. Il recommande toutefois de ne pas être sot dans sa simplicité [ 25 ] .

Likutei Moharan telle qu’imprimée lors de la première impression Couverture du livretelle qu’imprimée lors de la première impression

Tous les enseignements de Nahman ont été transcrits par le rabbin Nathan. Ils les a rassemblés dans les ouvrages suivants :

Likouté Moharane (“Recueils de notre Maître Rabbi Nahman”): C’est l’ouvrage essentiel, recueil des enseignements fondamentaux. Toutes les Leçons, 411 en tout (chacune appelée Torah), sont des enseignements universels qui s’adressent à l’ensemble d’Israël. Elles contiennent les secrets profonds de la Torah tirés des livres du Zohar, de la kabbala, et du Ari.

(“Recueils de notre Maître Rabbi Nahman”):

Sur les instructions de son maitre, Nathan a rassemblé tous les enseignements pratiques et les conseils figurant dans Likouté Moharane et les a publiés dans :

Likouté Eitzot (“Conseils”):

Un recueil de conseils pratiques.

Kitzour Likouté Moharane, condensé pratique du Likouté Moharane, écrit par Nathan [ 26 ] à la demande de Nahman qui en fut totalement satisfait.

Les autres œuvres de Nahman comprennent :

Composé de dix Psaumes (16, 32, 41, 42, 59, 77, 90, 105, 137, 150), « révélés » à Rabbi Nahman comme étant le « Remède Général ».

Sippouré Maassiot (“les Contes du Rabbin Nahman”):

Les histoires étranges et merveilleuses racontées par Nahman cachent des enseignements d’une immense profondeur spirituelle.

Sefer Hamidot (“le livre du Aleph-Beth”):

il est composé d’aphorismes tirés de l’ensemble du Tanakh, des midrachim et du Zohar.

Nahman aurait écrit deux autres livres, le Sefer HaGanuz (Le Livre caché) et le Sefer HaNisraf (le Livre brûlé), qui ne nous sont pas parvenus. Il n’a montré le Sefer HaGanuz à personne et a chargé Nathan de brûler le manuscrit du Sefer HaNisraf en 1808. Personne ne connaît le contenu des deux manuscrits[11].

Quelques citations de Nahman qui sont très connues, et dont certaines sont reprises dans les chansons du folklore populaire :

« C’est une grande mitzva que d’être toujours joyeux ».

« Et sache que l’homme doit traverser un pont très étroit, l’essentiel est de ne jamais avoir peur ».

« Il est interdit d’être vieux ».

« Ne demande jamais ton chemin à quelqu’un qui le connaît, car tu pourrais ne pas t’égarer ».

« Le désespoir n’existe pas dans le monde ! Du tout ! » [ 27 ] .

. « Je ne connais rien » [ 28 ] .

Nahman avait déjà prévu la longue période catastrophique qui s’approchait en raison d’une hérésie généralisée et d’un athéisme déchaîné. Par exemple, en Europe orientale aussi, lorsque les premiers nobles souverains étaient sur le point de se dégrader, en raison notamment des raids des bandits rebelles qui volaient leur richesse, la socialité avec les Juifs et les régents se détériorait : les anciennes monarchies régnantes perdaient du pouvoir. De nombreuses épidémies et la préparation des deux grandes guerres mondiales étaient donc très proches.

Nahman a donc cherché à éveiller encore plus la foi en ceux qui étaient loin, en essayant de le rapprocher de Dieu, et en encourageant de nouvelles améliorations pour ceux qui n’étaient pas trop loin.

Prophétie et déduction logique-rationnelle historique [ modifier | modifier le code ]

Pourquoi la prophétie de Nahman de Bratslav est-elle considérée comme telle et pas seulement comme une déduction logique mais surtout exactement comme prophétie consciente ?[pourquoi ?] Au-delà des considérations historiques – parfois les historiens modernes ont appris qu’il existe vraiment une sorte de déterminisme intra-historique de cause-effet, comme dans une grande partie de la philosophie – celui de Nahman a été reconnu comme une prophétie pour deux raisons principales liées :

le Sefer haZohar discutait déjà d’un grave désastre historico-spirituel avant l’ère messianique; Nahman de Bratslav est capable d’identifier exactement la période dans laquelle cela se produirait, apercevant la cause la plus grave : l’athéisme, manifestant déjà expressément les effets.

Dans la religion juive, il y a de nombreux passages continus entre « chutes et ascensions » mais, en termes de disgrâce et de délabrement, dans l’histoire du peuple juif, on n’a pu jamais assister à ce qui s’est passé pendant la Première Guerre mondiale et surtout avec la Seconde Guerre mondiale : voici la considération évidente d’une récupération totalisante ultérieure naturelle, simple dans le monde d’aujourd’hui où tout semble encore plus facile et il est évident précisément pour une chose claire[pas clair] : dans l’histoire du monde, nous ne sommes jamais descendus dans des abîmes terrible comme ceux de la Shoah.

Nahman a eu huit enfants de Sashia dont quatre morts en bas âge : six filles et deux fils.

Sa fille Miriam est montée en terre d’Israël en 1809, où elle est morte sans descendance.

Ses trois autres filles, Odele (Adil), Sarah et Haya, ont eu des enfants[3].

Nathan de Bratslav est l’un de ses plus éminents disciples. C’est par lui que sont connus ses enseignements. Il s’attache à son maître et consacre sa vie à transcrire, enseigner, imprimer, et diffuser l’enseignement Bratslav.

Nahman déclare à son sujet :

« Sans le Rabbin Nathan, pas une page de mes écrits ne serait restée ! »

Une fidélité qui persiste au-delà de la mort de Nahman. Lorsque l’on propose à Nathan de prendre la succession de son maître, il répond :

« Je ne suis pas le Maître, je demeure le disciple ! »

Autres disciples :

Le rabbin Naphtali de Nemrirov.

Le rabbin Aharon de Bratslav.

Le rabbin Shmouel Yitzhak.

Le rabbin Yekoutiel, le Maguid de Terhovitza.

Le rabbin Dov de Tcherin.

Le rabbin Youdel.

Il existe deux mouvements liés à Rabbi Nahman : le mouvement des enseignements de Rabbi Nahman, et l’autre appelé « le mouvement Breslev » , ayant des similitudes avec son enseignement mais étant surtout centré sur la joie, l’acceptation de l’autre quel qu’il soit, etc.

Nahman vivait à une époque de controverses entre les Hassidim et leurs opposants, les Mitnagdim. Il y avait aussi des frictions entre Hassidim et les partisans de la Haskala.

En 1816, Joseph Perl dénonce dans un livre le hassidisme et critique de nombreux écrits de Nahman, décédé six ans plus tôt. La censure impériale d’Autriche va jusqu’à interdire la publication de son livre, de peur qu’il n’engendre des troubles parmi les sujets juifs de l’empire.

Nahman rencontre également une opposition au sein même du mouvement hassidique. Ses disciples et lui-même sont attaqués par nombre d’éminents chefs hassidiques, en particulier par le grand Aryeh Leib de Shipolé, dit le Sabba de Shipolé. Selon l’une des explications de la genèse de ce conflit, Nahman avait été invité par les gens de Zlatopol à désigner qui dirigerait les offices des Jours Redoutables. L’homme choisi pour diriger la Né’ila, l’office de clôture de Yom Kippour, ayant perdu ses moyens lors de la prière, Nahman aurait dit qu’il cherchait à se rendre précieux aux yeux de son épouse qui assistait à l’office[29]. Vexé, l’homme dénonça Nahman au Shpoler Zeyde.

Des personnalités hassidiques soutiennent le rabbin contre l’opposition du Sabba de Shipolé. Ainsi son oncle, l’influent rabbin Baroukh de Mezhibizh et les rabbins Levi Yitzhok de Berditchev, Zev Wolf de Charni-Ostrov, Avraham de Kalisk, le Hoze de Lublin (le Voyant de Lublin), qui approuve son livre, et le rabbin Shneur Zalman de Liadi, s’étant réunis à Berditchev, ils lancent la procédure d’excommunication rabbinique (cherem) contre le Sabba de Shipolé pour outrage à un Sage de la Torah. Mais, ayant entendu parler du projet, le rabbin Levi Yitzhok de Berditchev obtient qu’ils y renoncent[30].

« Conflits messianiques » de Bratslav [ modifier | modifier le code ]

Nahman était certainement Tsadik, comme le montrent ses enseignements, et sa vie totalement immergée dans les voies de la Torah. Il existe des opinions différentes selon lesquelles il est ou non de la branche dynastique du roi David et le Tsadik occulte qui figure le Mashiach dans la tradition hassdique.

Nahman a passé la plus grande partie de sa vie d’une manière humble et sans chercher les honneurs, comme cela apparaît au cours de ses voyages en Terre Sainte d’Israël ; il n’a pas recherché un nombre disproportionné d’adeptes hassidim, il a plutôt évité d’impliquer beaucoup de gens alors qu’ils étaient impatients de le suivre.

Dans ses contes, la figure du « Tsadik » et du « roi » est évidente, souvent citée avec des « nobles », des « ministres », d’« autres rois »… Il parle aussi de l’« empereur » et de l’« impératrice » ou de la « reine » ; parmi ceux-ci se souviennent « Le rabbin et son fils unique » :

« Votre fils était un aspect de la Petite Lumière. Le Tsadik était un aspect de la Grande Lumière. S’ils se joignaient tous les deux, le Mashiach viendrait. Mais maintenant qu’on l’a fait mourir, vous pouvez continuer le voyage. »

Dans cette histoire, l’enthousiasme (devekut) et le fort désir (Kavana) du fils unique du rabbin sont continuellement diminués jusqu’à sa mort : il voulait absolument rencontrer le Tsadik, comme le lui suggéraient ses amis, mais malheureusement il est resté inconnu. Ce Tsadik, que le jeune homme voulait connaître, semble avoir été le Tsadik.

Or, dans la théologie de la religion juive, chaque juif est précisément Tsadik et Hassid, donc le fait qu’un Tsadik se démarque si clairement des autres juifs fait de lui Le Tzaddik ou le Mashiach… et Nahman de Bratslav est reconnu jusqu’à présent comme « le Tzaddik ». Alors, voici la controverse[31][Quoi ?] car il est évident que, selon les prophéties du Tanakh, le Mashiach est en lui-même celui qui est avec tous les Juifs dans les « longs et larges derniers jours » jusqu’au rétablissement du Beith haMikdash à Jérusalem reconstruite ; la « dichotomie conceptuelle » est donc résolue avec la tradition désormais établie dans la religion juive pour laquelle dans toutes les générations il y a un Moshe, et « Moshe Rabbeinu » dans le Pentateuque est clairement celui qui a escorté le peuple juif dans l’Exode de « Mitzraim » à Eretz Israël. L’Exode avec le Matan Torah, ou la révélation de la parole divine, est considéré dans la littérature rabbinique comme un goût de rédemption, célébré avec la fête religieuse juive de Pessa’h, fête de pèlerinage (Shalosh Regalim), plus tard aussi, à Jérusalem, donc la liberté, la rédemption et l’émancipation religieuse des Juifs sont providentiellement soutenus par « le leader de chaque génération » et Nahman de Bratslav a assimilé ses actes, son enseignement et son rôle dans les années précédant la Shoah.

Dans Alim L’Terufah, avec le texte traduit en anglais Eternally Yours (Alim LiTerufah), The Collected Letters of Reb Noson of Breslov Vol. 1-2-3-4[32], l’origine de ce livre caché peut être fait par Breslover Hassidout ; il est clair que l’écriture remonte à 1806 et a été transmise à Reb Nathan et à quelques autres.

« Une copie de l’ouvrage connu sous le nom de “The Scroll of Secrets” du manuscrit de Reb Nathan – lettre pour lettre, qu’il a entendu de notre saint Rebbe (Nahman de Bratslav) contenant les détails de la venue du Rédempteur… »

— R.Natan Zvi Koenig, Neveh Tzadikim

Il raconte deux discours célèbres mais est resté caché pendant de nombreux siècles, au point d’affirmer que certains de ceux qui les ont entendus de Rebbe Nachman de Bratslav les ont vite oubliés. Il existe beaucoup de secrets sur l’identité du Mashiach[33] et des justes rachetés…

Le désir de cacher et de révéler le texte semble être dû à la facilité de compréhension de la Kabbale précisément à travers la Hassodout :

« Le Mouvement Hassidique a ouvert le monde de la Kabbale, dans toute sa complexité symbolique, au public. Des changements radicaux dans la pensée religieuse, les manières de parler, les styles d’écriture et les modes de leadership ont permis aux Hassidim de transformer la Kabbale[34] en un mode de vie pour leurs adeptes[35] »

Dans le texte – en effet, il semble qu’il y ait des ajouts attribués par exemple à R. Abraham ou R. Naftalì et à d’autres plus tard – une référence explicite est faite au Messie, en tant que « roi de Israël » et « empereur » avec qui les ministres des différents pays, où il voyage, apportent des cadeaux, ils acquièrent la sagesse, comme d’autres proches de lui, voire de dire de la construction de palais à Jérusalem précisément pour les rois[pas clair]. Il sera la première autorité incontestée de Halakhah, il semble bien le connaître à l’âge de trois ans. On parle de son mariage aussi, probablement de sa mort[36] et d’un successeur, ainsi que des enfants et de ses nombreux sermons. Il fait de nouveaux « médicinal » pour les malades[pas clair] et il trouvera une “chaise” dans tous les pays où il sera… Il aura un génie pour la musique et chanson, pour joyaux[Quoi ?] et au début, ils ne reconnaîtront pas qu’il est celui-là, ensuite chacun en viendra à reconnaître qu’il est le Messie jusqu’à ce que tous sachent [this][37].

Origine juive du Rabbe Nahman : un Tsadik et un Hassid de la dynastie du roi David [ modifier | modifier le code ]

« Je vais finir ! Je vais ! Que Dieu qui est bon finisse pour moi à partir de maintenant et pour toujours »

— Rebbe Nahman de Bratslav

Rebbe Nahman de Bratslav ne s’est jamais défini comme Sefardi, Ashkenaz ou quoi que ce soit de ce genre. Il aimait simplement dire qu’il était Tsadik et Hassid aussi, bien que tout autre Juif. Tous ses enseignements sont à l’origine de la théologie juive, selon les « 7 faces de la Torah » ; dans la Kabbale et l’éthique jusqu’aux les enseignements de toute la Torah, avec la Hassidout du Rebbe Nachman, il est possible de redécouvrir chaque aspect du Judaïsme en vivant pleinement ses valeurs, normes et concepts[38].

Dans tous les cas, on dit que le Baal Shem Tov appartient à la « dynastie royale davidique » : cela signifie que le Mashiach ben David doit provenir de cette lignée, en fait le premier et le Rebbe Nahman lui-même ont des documents et des preuves concernant leur origine, comme mentionné ci-dessus ; cela est vrai au-delà de l’étrange et rare « transe semi-extatique » de ceux qui se sentent soudainement y appartenir et d’être un « prêtre juif », un « lévite » ou un autre cas célèbre dans le judaïsme et évidemment, avec une illusion due à un « auto-conditionnement » donc non véridique ou vérifié : ces derniers éléments qui viennent d’être décrits, nombreux parmi les religions, constituent la plus étroite et la plus basse des formes de superstition dans lesquelles hypocritement leurs adhérents et eux-mêmes, précisément « les charlatans communs dans la réalité de tous les jours », font semblant de croire. Malgré cela, par exemple, « la prise de conscience en tant que telle » concernant « le fait d’être juif ou non » découle de l’étude incessante de la Torah et de la foi en Dieu ; au-delà de la famille et des documentations historiques ou des témoignages à son sujet que de nombreux juifs peuvent prétendre avoir, être juif est l’état spirituel, intérieur, existentiel, pragmatique et « matériel » dont chaque dévot, qui constitue le peuple juif « avec tout de lui-même », est aussi pleinement conscient que cela avant la vérité la plus évidente[pas clair].

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Kippa La kippa désigne petit chapeau ou un couvre-chef dans la culture juive. Dans les communautés juives traditionnelles, seuls les hommes portent la kippa et ils doivent la porter à tout moment de la journée (sauf pendant le sommeil et le bain). Dans toutes les communautés juives , on trouve des coutumes différentes quant au moment où la kippa doit être portée: pour manger, pour prier, pour étudier des textes saints comme la Torah ou pour entrer dans un espace sacré comme une synagogue ou un cimetière. Comme le dit la loi juive : « Il est interdit de marcher quatre coudées sans se couvrir la tête ». Le fait de porter une kippa est considéré comme un signe de révérence envers l’Eternel. Garder la tête couverte en tout temps possède une signification mystique, et c’est pourquoi certaines personnes se couvrent la tête deux fois – un chapeau sur une kippa, ou un talit (châle de prière) sur une kippa – pendant la prière On trouve des kippot fabriquées à partir de nombreux matériaux. Dans les communautés orthodoxes traditionnelles, les hommes portent des kippot en velours noir ou en soie, souvent sous leurs chapeaux. Dans d’autres communautés orthodoxes modernes, conservatrices et réformistes, il…

Chabbat Selon la Torah, Chabbat commémore le jour où Dieu s’est reposé de la création du monde ; le mot Chabbat signifie littéralement « il s’est reposé ». Exode 34:21 déclare : « Tu travailleras six jours, mais le septième jour tu te reposeras. » Le Chabbat est considéré comme un jour de paix et de sainteté. Ce jour est célébré, en premier lieu, en observant le jour saint comme un jour de repos de tout travail. Les rabbins ont délimité 39 catégories de travail qui sont interdites pendant cette journée. Il est traditionnel de porter de beaux vêtements le jour du Chabbat, et certaines personnes portent également du blanc comme symbole de pureté et de sainteté. Les prière de Chabbat à la synagogue le vendredi soir comprennent la kabbalat Chabbat (réception du Chabbat), où des chants spéciaux sont chantés, et le Chabbat est invité métaphoriquement en tant que « mariée » ou « reine ». Cette pratique a été instituée par les kabbalistes et constitue une belle façon de commencer cette fête juive. À la maison, les bougies sont allumées et bénies, et les parents bénissent leurs enfants. Le soir du Chabbat, le chef de famille fait le kiddouch sur le vin et la bénédiction du pain (motsi).… Bougeoir Chabbat

couvre pain – couvre hallot

Havdalah

Verre Kiddouch

Fontaine Kiddouch

Netilat Yadaïm & Mayim Aharonim

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